Texture de lignes ondulées blanches sur une surface

Fiche d'identité : Extrait cellulaire de rose centifolia

Nom d’usage : Rosa Centifolia Leaf Cell Extract (I.N.C.I.), cellules natives de rose centifolia, rosier cent-feuilles, rose de mai, rose de Grasse.
Nom botanique : Rosa centifolia.
Procédé d’obtention : Culture in vitro des feuilles dans un milieu nutritif puis stimulation par éclairage UV et visible pour produire des métabolites (molécules actives), rinçage, filtration des cellules, sonication et dispersion de l’extrait dans de la glycérine végétale.
Famille, type : Rosacées.
Partie utilisée : Feuilles.
Localisation, implantation : Bulgarie, France (Grasse), Afrique du Nord (Maroc, Tunisie).
Floraison : De la fin du printemps à l'été (selon climat dés la fin avril jusqu'en juillet).
Provenance, origine : France.
Composition : Acides aminés essentiels, vitamines et minéraux.
Propriétés organoleptiques : Forme : Liquide ; Couleur : Incolore à jaune pâle ; Odeur : Douce.
Caractéristiques physiques : pH : 4,5 - 7,5 ; Miscible dans l’eau ; Insoluble dans l'huile ; Densité : 1,0 - 1,3 g/cm3.
Bienfaits : Hydratant, protecteur, régénérant, antioxydant, apaisant.
Indications cosmétiques : Tous les types de peau et particulièrement les peaux sèches et déshydratées.

Details

Utilisation

  • Soins visage (brumes, crèmes visage, sérums, soins contour des yeux, crèmes solaires) ;

  • Maquillage (CC-crèmes, fonds de teint).

Moyen de conservation

Conserver dans un endroit frais et sec. Ne pas dépasser 40°C avec une humidité relative de 65%.

Contre-indications, précautions d'emploi

Il n'existe pas de contre-indications à l'utilisation cosmétique de l'extrait cellaulaire de rose centifolia. Les femmes enceintes et les jeunes enfants peuvent l'utiliser. Eviter le contact avec les yeux.

En savoir plus

Originaire du Caucase et modifiée par diverses hybridations, la rose aux cent feuilles doit son nom à ses fleurs aux pétales doubles qui exhalent un parfum prononcé au printemps. Cultivée pour ses vertus aromatiques dès le XIXème siècle, elle est devenue un des piliers de la parfumerie. L’impératrice Joséphine en possédait 27 espèces différentes dans son jardin de la Malmaison. En Occident, ses vertus médicinales (antiseptique, astringente, dépurative) l’ont fait rentrer dans la pharmacopée traditionnelle.